» [Amiga] Indiana Jones and the Last Crusade - the Graphic Adventure

[PeteMul]

Ca faisait longtemps que je l'avais sous le coude, celui-là. J'y reste sobre, mais je suis encore rouillé, et puis un monument comme ça, ça impose le respect.

http://www.jenesuis.net/tests/amiga/666-indiana-jones-and-the-last-crusade-the-graphic-adventure

[Paderwann]

C'est juste beau.
Moi qui suis vierge de toute expérience amiga/atari/spectrum... de l'époque, ton verbe pousse à la curiosité et au rattrapage. Tout est dit.

[Pixxell]

Pour moi c'était sous DOS (autrement plus joli, si je puis me permettre, évidemment).

Mais à part ce détail, je retrouve dans ton texte ces fameux passages que tu soulignes et qui m'ont traumatisée à l'époque : le château et, surtout, ces satanés combats.
D'ailleurs ce sont ces derniers qui m'ont toujours retenue d'essayer la fameuse "voie des poings" dans sa suite, The Fate of Atlantis... Vraiment, je ne m'en suis jamais remise.
Je crois bien d'ailleurs que cet Indy 3 est le seul jeu d'aventure Lucas Arts que je n'ai jamais fini, en fait.
Chose amusante, tu parles de dialogues qui permettent d'éviter les combats par exemple, mais apparemment il y a des tas d'embranchements qui peuvent rendre l'histoire bien différente (et surtout s'éloigner du film, c'est là que c'est une adaptation intelligente). Tu peux par exemple ne pas du tout avoir besoin de te rendre à Berlin, ou encore t'y rendre et faire signer à Hitler un laisser passer pour plus tard.

Bref, un jour, je le finirai...

[PeteMul]

Oui, il est vrai que je n'ai pas assez souligné ces chemins multiples. Tu peux aussi zapper entièrement le passage en Zeppelin. Il y avait une petite replay-value quand même.

En fait j'y ai joué sur Mac, et c'est un des rares cas où une conversion Mac n'était pas drastiquement améliorée graphiquement par rapport au support initial.

[NICOSMOS]

Je pensais cette critique aussi légendaire que le graal lui-même.
Merci Pete, celle-ci fait à nouveau parfaitement honneur aux raisons pour lesquelles j'aime lire tes articles.
Car oui, lorsque j'ai récupéré l'Atari ST de mon cousin en 2006, parmi son conséquent lot de disquettes il y avait Indiana Jones. Et si de nombreuses distractions et autres occupations me détournèrent de la fin du jeu, je suis allé jusqu'au château nazi en prenant un pied dingue, la nuit passée, le grésillement du moniteur en guise de bande-sonore, le charme particulier du rétrogaming qui traverse les décennies.

[wonderpanzer]

Farpait (je ne t'imagines que trop bien dessus)