En voilà un tuto qu'il est clair et intéressant. De quoi reposer un lecteur optique un peu fatigué, j'imagine que le lancement de l'OS ne le sollicite pas trop. Merci Pantera.
Avec la version de DreamShell que je suggère au téléchargement dans le tutoriel, effectivement, le lecteur GD-Rom est très peu sollicité. Il ne sert qu’à amorcer le lecteur de carte SD, et DreamShell se charge depuis la carte. Le lecteur GD-Rom tourne un moment (sans rien lire), puis fini par s’arrêter. Ceci étant dit, très peu d'homebrew permettent de revenir à DreamShell en quittant. Il faudra donc relancer la console (et donc le GD-Rom) à chaque changement.
C'est fou ! hors de portée pour qqn comme moi mais fou !
Il n’y a que les six soudures sur le port séries qui sont un peu corsées, mais rien de bien violent. Tout n’est qu’un jeu de patience.
ca permet de soulager le lecteur GD mais le revers de la medaille c'est qu'on peut avoir des ralentissements ou des loading un peu plus long avec certains jeux qui ont besoin d'acceder en permanance aux données ou quand il y a de longues videos. Le tuto a l'air pas trop compliqué à realiser aussi.
Effectivement, les chargements ne sont pas très véloces. Le port série plafonne à 4X (600 Ko/s), contre 12X pour le lecteur GD-Rom (1 800 Ko/s). Bon nombre de jeux commerciaux ne fonctionneront pas (ou très mal). Le seul intérêt réel de ce montage, c’est de pouvoir lancer des homebrews sans avoir à les graver sur CD.
Ca m'a l'air intéressant, dommage qu'il n'y ait pas plus d'illustrations -avec entre autres une photo de la Dreamcast bidouillée.
Le but du tutoriel était d’être clair et précis. Je n’avais donc pas trop envie d’alourdir en prenant une photo par vis démontée. De plus, comme pour tout ce que j’entreprends : à partir du moment où ça fonctionne, je ne me prends pas trop la tête. De ce fait, ma console est terminée à la pisse, en plus d’être terriblement sale pour avoir été manipulée dans tous les sens. Et surtout, n’ayant plus d’appareil photo sous la main, la qualité globale n’est pas géante.
J’en ai quand même pris quelques unes en remontant la console :
Console éteinte :
Découpe du port SD :
Difficile de faire plus propre au couteau suisse… Je fignolerai une autre fois…
Console allumée :
La LED verte ne s’allume que lorsqu’il y a des temps d’accès sur la carte SD. Pour ma part, je n’ai pas monté la résistance de 470 ohms, sinon, elle s’éclaire timidement, et ça fait un peu ridicule.
Chargement de DreamShell :
Après cet écran, c’est la carte SD qui prend le relai.
Bureau DreamShell :
Une interface simple où il sera difficile de se perdre… Pour plus de détails,
Youtube doit fourmiller de vidéos.
Collier + Modem :
La Dreamcast est une petite pute capricieuse. Il faut donc ruser pour pouvoir la démonter un jour, sans arracher le lecteur de carte SD… Ca m’a coûté le modem, mais vu qu’il ne sert pas à grand-chose…
Modem + Connecteur collé :
Un point de colle pour refixer le connecteur RJ11, ainsi, une fois la console remontée, elle garde une apparence d’origine.
Console ouverte :
Une belle gaine crade au chatertone (en rouge) pour éviter tout problème, du fait que les fils passent sous la carte d’alimentation de la console. Les bouts chatertone bleus ne sont là que pour maintenir les contacts pour la LED (pour pouvoir démonter facilement en cas de problème).
Support du lecteur de cartes :
Un joli pâté de colle, taloché au paquet de clopes (Marlboro, d’où les traces rouges) pour le prestige, afin de rehausser le lecteur de carte au niveau de rebord de la coque, et d’éviter d’avoir une vieille carte dégueulasse rentrée en biais une fois la console fermée. Les quatre trous servent à faire passer les colliers de serrages pour maintenir le lecteur de carte. Cela fonctionne aussi si vous faites du travail propre. Pour ma part, ça ira très bien pour la campagne.
Montage LED :
Si vous aussi vous souhaitez épargner la douce mélodie de la perceuse en pleine nuit à vos voisins, notez qu’il est parfaitement possible, vu la qualité discutable du plastique de la console, de percer à l’aide d’un clou, et d’agrandir le trou avec un tournevis cruciforme. Le bon goût vous suggèrera sans doute de percer de l’extérieur vers l’intérieur, afin de ne pas avoir de copeaux immondes en façade une fois la console refermée.
Carte mère :
La carte mère pour finir. La colle est utile pour ne pas trop tirer sur les soudures du port série au remontage, mais si vous êtes plus délicats que moi, elle est dispensable. Eviter de faire passer les fils sur les processeurs de la console en remontant (les deux carrés noirs au centre de la carte). Dans le sens où la console a déjà du mal à refroidir normalement, ça ne va pas beaucoup l’aider…
![[ NES Pas ? ]](http://jenesuis.net/forum/Themes/classic/images/smflogo.gif)
