Okay.
Je crois que j'ai acheté Astroboy cet été, voir un peu avant juste parce que je me rappelais avoir lu en ces lieux qu'il était tout à fait valable. Je l'ai donc acheté, fait quelques niveaux en facile mais j'avais dû renoncer par manque de temps (au profit d'autres jeux), et devant la difficulté de certains boss. Et dans mes souvenirs, c'était Pook, avec ses 4 formes aux patterns pas évident au début.
Seulement voilà, je ne suis pas un faible, et il fallait tôt ou tard prouver ma valeur au monde entier en terminant ce jeu que j'avais payé 5€.
Donc paf, j'ai redémarré le jeu en normal et de mémoire d'ours, puisque le jeu fait l'erreur de ne pas proposer un compteur de temps passé, j'ai dû y consacrer une bonne vingtaine d'heure au minimum. Pour un jeu GBA. Rien qu'avec les retours en train depuis Paris.
Et vous savez quoi ? C'est du lourd, parce que d'abord c'est d'une jouabilité exceptionnelle et d'une narration absolument brillante, surtout compte tenu du support. En fait, partez du principe que c'est un jeu purement excellent, comme ça, je suis épargné de quelques bons paragraphes d'éloges suintantes de superlatifs : Ça me permet de parler vaguement des deux aspects que j'ai eu à reprocher au jeu, le fait d'en demander trop à la GBA.
Pourtant, il n'y a pas "tant d'ennemis" que ça à l'écran, mais je repense à certains niveaux sur la Lune, dans l'usine lorsque la gestion d'une brume transparentes, de barrières électriques et de monstre volants rend le passage purement pénible tant le jeu rame. Je repense aussi au passage des astéroïdes de la vraie fin lorsqu'en plus de souffrir de ces sautes de framerate, il faut subir des hitbox hasardeuses qui font que j'ai trouvé ce passage extrêmement aléatoire.
Mais ça, ce sont des défauts que l'on doit subir lorsque l'on joue au jeu mais qui ne sont finalement que peu de chose face à ce monstre d'efficacité qu'est
Astroboy Omega Factor.
Paderwann, joues-y, sinon tu as un petit sexe.
C'est valable pour les autres.