» [PES/FIFA/FM] Pro Evolution Football Association Manager

[Garburesteff]

Et la beauté du foot en D4 :

http://www.easports.com/media/play/video/141837286

[Cosmic]

J'ai lâché ma carrière avec Angers, je n'y avais pas touché pendant trop longtemps...

Je recommencé avec Auxerre. Objectif : la montée en L1.
L'avantage avec ce club, c'est que vous n'avez besoin de rien au niveau du recrutement. L'équipe est bien fournie. A la limite, il vous faut recruter un latéral et un ailier pour avoir du solide pour la saison.

Le rythme imposé par les équipes du haut de tableau est toujours aussi fou mais ça force à se dépasser, personnellement ce FIFA13 me plaît encore et encore.
J'ai réalisé un exploit en coupe de la ligue en éliminant le PSG aux tirs aux buts, après un 3-3 complètement fou.
Après une dizaine de journées, je suis 5e, on est 7 équipes à être dans le haut et à se battre pour la montée. Le championnat est passionnant.

J'ai reçu une offre de sélectionneur. Je l'ai accepté. Les amis je suis le nouveau sélectionneur de l'Ecosse ! Et ça c'est beau !
Ça a l'air bien foutu. J'ai rendu ma première liste des 23 pour les 2 amicaux de novembre. Je joue la Finlande comme premier test match. J'espère me qualifier pour la Coupe du Monde, ça serait grand.

Aaaaah je kiffe ce jeu bordel. 

[Garburesteff]

Putain moi en sélectionneur on me filait que des africains avec des crêtes, du coup je refusais.

[Cosmic]

On m'avait dit que l'Irlande du Nord et la Bolivie s'intéressait à moi. J'aurais refusé aussi.

J'ai eu l'Ecosse après 15 matchs avec Auxerre (ce que je trouve un poil abusé), mais j'ai accepté. Le kiff putain ! 

[Clem_1up]

Une question qui me tourmente :

Je suis actuellement en train de jouer la montée en L1 dans ma carrière avec Monaco (j'ai d'ailleurs baptisé l’entraîneur L.GIULY car je suis un gros kéké et j'aime ça).

Imaginons qu'en plus de ça je sois une brêle et je suis relégué, il se passe quoi? je joue en national? je suis viré?

[Garburesteff]

(je m'appelle bien S. Derrick dans mes saisons en bundesliga)

Je pense que tu as un bon gros game over.

[Cosmic]

Te faire reléguer en National, non, parce qu'il n'y a que la L1 et la L2 dans FIFA.
En revanche te faire virer est fort probable. Et là, à toi les joies du championnat irlandais pour te refaire une santé. 

[Garburesteff]

Allez on remonte un peu ce topic  

J'ai très vite laché fifa 13 cette année qui s'est kéké-isé comme on pouvait s'en douter. A trop vouloir satisfaire les kevins, après avoir récupéré les joueurs de PES depuis fifa 08 et 09, Fifa 13 proposait un fuma imbuvable rempli de bugs, faisant la part belle aux contres attaques sans créations de jeu, sans parler qu'il n'avait de fuma que le nom tellement le jeu était assisté. Bref à la benne.

Et je me suis mis il y a peu à PES 2013 sur PC, en fuma également. Le jeu n'est pas exempt de défauts (joueur toujours sur des rails, qui s'arrêtent parfois, jeu aérien inexistant, centres automatisés...) mais on se rapproche beaucoup plus du vrai foot : obligation de construire, passes réellement en manuel etc etc...

Par conséquent, j'attends avec impatience PES 2014, qui est l'aboutissement de nombreuses années de travail chez Konami, étant donné qu'ils ont compris qu'ils avaient fait de la crotte sur cette génération de console depuis 2006.

Voici les premiers CR qui tombent sur la préview, une démo étant attendue en aout :

http://www.wearepes.com/smf/index.php?topic=16842.msg487174#msg487174

Après avoir pu tester la démo de Pro Evolution Soccer 2014 que Konami à concoctée pour l’E3 2013, nous avons eu la chance de mettre nos mains sur une version un peu plus avancée qui comporté 4 équipes au lieu des deux présentes lors de notre premier essai.

Bien que la plupart des menus du jeu soient une fois de plus inaccessibles dans cette version, nous avons tout de même pu constater que ces derniers avaient été revus et se présenter sous forme verticale comparée à la barre horizontale qui régnait l’an dernier. Il semblerait même qu’il soit possible de configurer son menu d’accueil aux couleurs de son club favori. La version testée arborant de base le logo du Bayern de Munich à côté des différents modes de jeu.

Mais comme par le passé, nous ne pouvions lancer qu'un match classique ou assister à une opposition entre deux équipes contrôlées par l’ordinateur. Bien que ce second point n’intéresse pas forcément grand monde, nous allons nous arrêter quelques secondes dessus. En effet, le fait de visionner un match opposant deux équipes dirigées par l’IA nous a permis de voir à quel point cette dernière avait progressé.

À de nombreuses reprises, nous nous sommes surpris à mettre pause pour admirer sous tous les angles les différents gestes techniques que la console réalisés sous nos yeux. À ce moment-là, nous comprenions que la console savait parfaitement se servir de toute la palette de gestes techniques inventés par les développeurs et qu’elle n’hésitait pas à marquer d’un ciseau acrobatique avec Balotelli ou bien encore à humilier le gardien d’en face avec une jolie madjer.

Après avoir compris que nous aurions fort à faire pour gagner un match, nous décidons de lancer le match nous permettant de contrôler l’une ou l’autre des équipes disponibles. Ensuite, nous constatons que nous avons accès à la plupart des options du gameplay et que nous pouvons enfin composer notre équipe. Une bonne occasion pour nous de découvrir que les fameuses flèches de formes sont toujours présentes et que leur aspect a été quelque peu redessiné afin de correspondre aux codes actuels.

Dans son ensemble, le menu Gameplan ne connaît que quelques changements esthétiques, mais accueille également le menu qui nous permet de décider quelles sont les tactiques employées par nos coéquipiers en fonction de la zone du terrain ou nous évoluons. Il faudra donc passer de longue minute afin de trouver la tactique qui correspond à notre style de jeu et pouvoir réaliser de véritables décalages pour se présenter seul devant le but.

Après toutes ces modifications prises en compte, il est temps de lancer le match et d’être une fois de plus ébloui par la modélisation des joueurs, l’ambiance du stade et les différents effets de lumière. Comme nous l’avions déjà dit, le Fox Engine y est pour beaucoup et PES passe un énorme cap grâce à lui. Mais malheureusement pour nous, nous découvrons vite que cette version souffre d’un vilain défaut que nous avons constaté il y a quelques années dans FIFA.

De nombreux contacts semblent faire dans la surenchère et viennent hacher le rythme de jeu avec un arbitre qui, à l'inverse de la version présente à l’E3, n’hésitera pas à sortir un carton rouge pour un oui ou pour un non. Ainsi, si vous faites un tacle glissé et qu’en bout de glissade vous effleurez votre adversaire alors qu’il a passé le ballon, ne vous étonnez pas de devoir sortir du terrain. Il faut espérer que ce défaut soit réglé d’ici l’arrivée de la version finale.

Mais cette mauvaise gestion des cartons fut également l’occasion de voir que lors de la pause, les joueurs de notre équipe n’hésitez pas à aller pester contre l’arbitre pour ça mauvaise décision. Une petite animation anecdotique, mais qui prouve que Konami cherche à reproduire de nombreux aspects des matches réels avec son titre.

Une fois passée, cette petite déception des cartons distribués aussi vite que Messi reçoit ses ballons d’or, nous avons été surpris de voir que les défauts remontés par la presse et les journalistes ayant testé la précédente version du jeu ont été prises en compte. La défense de l’équipe adverse est bien plus en place qu’auparavant et il faudra vraiment faire tourner le ballon à de nombreuses reprises afin de trouver le décalage qui pourra faire mouche. De même, alors qu’il y a deux mois, les passes en profondeur lobée passée un peu trop souvent, cette fois un défenseur arrivera la plupart du temps à se positionner pour mettre une tête salvatrice et stopper nette votre action.

Mais le plus gros reproche qui était fait à la version précédente était sans aucun doute les gardiens passoire sur les corners ou coup franc. Autant vous le dire, ce défaut n’existe plus et les joueurs ayant connu le bonheur d’enchaîner les corners rentrants vont devoir apprendre à se débrouiller autrement pour profiter de ces phases de jeu. Puisque l’on parle des gardiens, il est aussi sympathique de souligner que ces derniers peuvent faire une feinte de relance à la main. Nous vous l’accordons, cela n’a pas grand intérêt contre la console, mais pourra surprendre un adversaire humain qui marque un joueur de trop près.

La latence qui était présente dans la précédente a également été revue et les passes et les tirs se déclenchent plus vite si nous sommes libres de tout marquage. L’inertie des joueurs est toujours bien dosée et nos joueurs auront toujours autant de mal à réaliser des demi-tours incroyables ou à rester lancés à pleine vitesse à la réception du ballon. Vous l’aurez donc compris, si par bonheur une de vos passes lobées arrive à destination, le temps que votre joueur contrôle le ballon et relance ça course, vous aurez vite un défenseur sur le dos.

Il faut également noter qu’en plus de pouvoir choisir notre niveau d’assistance dans le changement de curseur ou dans les passes, notre profil nous permet aussi de décider de faire apparaître ou non les jauges de tirs ou centres. Il sera donc possible de jouer avec un écran de match vide de toute information et se rapprocher toujours plus du Full Manuel cher à certains joueurs de la communauté.

4/5
Note d'Attente

Cette version confirme tout le bien que nous avions pensé du jeu lors de notre première prise en main. De nombreux défauts ont disparu et il faut espérer que Konami corrige la gestion des cartons qui font suite à certaines collisions qui ne méritent même pas d’être signalées par l’arbitre. Nous vous donnons rendez-vous à Cologne pour voir si tout sera parfait ou non.

Nous avons déjà testé PES 2014! La preview nous a permis de nous faire une idée du jeu de Konami un peu plus d’un mois avant la sortie de la démo. Quelles sont les nouveautés? Mieux que FIFA 14?
Le jeu est toujours en phase de développement et certaines fonctions peuvent encore changer mais Alessandro et Daniel, nos deux experts du ballon rond chez Softonic, se sont affrontés sur le terrain et ont partagé leurs premières impressions sur PES 2014. Gameplay, graphismes, physique, tactique, gardiens… Ils abordent tous les aspects du jeu! Et croyez-nous, vous avez affaire à des spécialistes!

Graphismes et sons

Fluidity, le nouveau moteur graphique de Pro Evolution Soccer, offre d’excellentes performances. Les plans rapprochés des joueurs sont impressionnants et la ressemblance avec leurs homologues réels est vraiment frappante. J’ai également l’impression que les stades sont plus travaillés, plus soignés, depuis les spectateurs dans les tribunes jusqu’aux bannières dans les gradins, sans parler des photographes sur le bord du terrain. En somme, du point de vue scénique, PES frappe très fort. Et pourtant, ce sont les effets sonores qui m’ont le plus impressionné dans cette première expérience PES 2014. Konami nous livre ici un travail magnifique, non seulement pour les hymnes nationaux, mais surtout pour l’implication du public. Il prend réellement part au match et incarne véritablement le douzième joueur sur le terrain: cris, encouragements, montée en puissance quand vous approchez du goal adverse, soutien durant les phases critiques du match… Le public siffle même les décisions contestées des arbitres ou les phases d’attaque de l’équipe adverse. La présence du public vous accompagne durant toute la rencontre. Mon conseil? Montez le son et profitez du match comme si vous étiez dans le stade!

Daniel - À dire vrai, ces deux aspects sont peu sujets à critique. Les graphismes ne cessent de s’améliorer et la définition du public de même que les traits physiques des joueurs sont de meilleure qualité que dans FIFA.

En cherchant la petite bête, j’ai trouvé les yeux des joueurs mal définis. Seule leur pupille est visible et leur visage perd en expressivité. Par ailleurs, les transitions de jeu après une faute font défaut mais c’est probablement dû au fait que le jeu est encore en phase alpha. Même s’ils parviennent à reproduire une véritable atmosphère de stade, on ne peut nier que les sons sont un peu répétitifs et artificiels. Dans une partie à domicile et après 4 buts, nous avons terminé sur un score de 1-4: le public a explosé de joie dans une clameur surréaliste. Ce genre de démonstration arrive-t-elle vraiment dans une partie réelle?



Physique et animations

Daniel - Le changement de l'aspect comportemental dans PES 2014 par rapport à Pro Evolution Soccer 2013 est similaire à celui que le système Impact Engine a apporté à FIFA 12. Les contacts au cours d’un match ressemblent beaucoup plus à ceux qu’on pourrait observer dans le monde réel. Autre nouveauté, attendue depuis longtemps: le ballon est régi par de nouvelles lois physiques. On le remarque particulièrement quand les joueurs courent avec le ballon au pied: l’effet "boule de bowling" a désormais disparu et le ballon ne fait plus de bonds ou de glissades étranges sur le terrain. En outre, il n’est plus "collé" aux pieds des joueurs et adopte un comportement plus naturel. Les animations des mouvements des joueurs sont plus réalistes que jamais. Les brusques changements de direction ont laissé la place à des gestes fluides et harmonieux comme vous pourriez en observer dans un match réel.

Alessandro - Je suis d’accord, mais j’émets quelques réserves. Il est vrai que le comportement et les animations de PES 2014 sont largement supérieures à celles de PES 2013 mais parfois, après un contact, la balle reste pratiquement immobile entre les deux joueurs et ça me laisse sceptique. Certaines chutes sont admirables, mais peu réalistes, un peu comme dans FIFA 12 avec l'arrivée de l’Impact Engine. Je te donne raison en ce qui concerne les changements de direction, même si parfois, l’écart entre la course et le contrôle de précision est un peu trop net et ralentit un peu l’action. Sans compter les tirs: ils présentent sans nul doute un grand intérêt du point de vue scénique, mais parfois, la trajectoire semble forcée: j’ai vu des tirs se diriger vers le but au dernier moment alors qu’ils sortaient clairement du terrain.



Sur le terrain

Daniel - S’il fallait résumer PES 2014 en deux mots par rapport au titre de l’année dernière, je dirais « élégance et spectacle ». La finesse des contrôles de précision (avec les boutons L2 ou LT) est un délice dès les premières parties. Avec des joueurs de pure classe comme Pirlo, le contrôle du ballon s’apparente à une véritable danse. Dans ses matchs, PES a toujours mis un point d’honneur à englober tout le terrain et à inclure des actions simultanées, mais cette année, les ouvertures sur les flancs ont atteint des sommets. Au cours de nos tests, nous avons vu Lahm courir sur le flanc comme il a l’habitude de le faire dans la réalité et nous avons pu admirer des passes en profondeur dans le plus pur style de Xavi. Les coups francs et les corners ont été améliorés grâce à une trajectoire visuelle définie par deux sticks (un stick désigne une commande de jeu qui permet de suivre un autre personnage). Comme avant, vous pouvez orienter le ballon dans la direction que vous voulez avec le stick droit, mais avec le gauche, vous pouvez désormais régler l’effet et la hauteur. Cette nouvelle méthode facilite les coups francs , sans toutefois garantir un but à chaque fois.

Alessandro -Il faut malgré tout dire que parfois, certains mouvements paraissent un peu téléguidés et qu’on n’a pas toujours l’impression de contrôler parfaitement les joueurs. Il est vrai que PES 2014 privilégie les manœuvres organisées, les changements de jeu et les ouvertures sur les flancs. C’est certes magnifique, mais l’action du jeu en pâtit un peu par sa lenteur et sa lourdeur, quoique moins que dans Pro Evolution Soccer 2013. Les arbitres ne m’ont pas convaincu : ils m’ont semblé sévères et attribuent facilement des fautes. En outre, ils n’appliquent pas correctement la règle de l’avantage (c’était déjà le cas dans PES 2013, mais le problème n’a pas été résolu).

Gardiens

 La grande différence entre PES et FIFA résidait notamment dans les gardiens de but. J’utilise le passé à dessein parce que Konami propose, cette année, des améliorations remarquables à ce sujet. Les gardiens n’alternent plus les fautes grossières et les rattrapages impossibles : ils sont bien plus fiables que dans les chapitres précédents. Nous avons assisté à des actions totalement nouvelles dans PES 2014 : certains gardiens ont parfois dévié la balle d’un mouvement presque imperceptible et ont ainsi sauvé un match. A d’autres moments, ils n’ont que légèrement modifié la trajectoire du ballon, sans pouvoir l’empêcher de finir dans le goal.

Alessandro - Ce que tu dis est vrai, certaines interventions sont vraiment spectaculaires et j’en suis restée bouche bée à maintes reprises.J’ai toutefois certains doutes sur les sorties des gardiens : je les ai vus manquer quelques balles hautes très simples. Si vous optez pour une sortie manuelle (bouton Y sur une mannette Xbox) pour contrer un attaquant, le gardien semble lent et maladroit. Dans le monde moderne, la vitesse constitue pourtant un élément essentiel dans ce genre de situations.



Tactique et stratégie

Alessandro - La gestion tactique a toujours été un des points forts de PES, mais la version de 2014 en améliore encore les possibilités. Tous les dispositifs tactiques sont adaptables selon les situations et vous pouvez déplacer les joueurs à votre guise dans l’excellent éditeur proposé par le jeu. Vous pourrez en outre choisir les joueurs défensifs qui montent aider dans les phases d’attaque (une option qui vous permet de tirer parti des arrières latéraux offensifs, comme Alves). Du point de vue stratégique, vous pouvez toujours modifier les valeurs suivantes : pressing, hauteur de la ligne défensive, compacticité de l’équipe et d’autres encore. La stratégie ultime réside toutefois dans le Strategy Integrator. Cette fonctionnalité, configurable depuis le menu tactique et stratégie, divise le terrain en plusieurs zones. Vous pouvez indiquer à chaque joueur les mouvements à effectuer lorsqu’il s’y trouve (tacles en diagonale, démarquage, dégagements et d’autres choses encore). Sur le terrain, le Strategy Integrator s’active en pressant deux fois sur LT (manette Xbox), mais uniquement lorsque le symbole dédié apparaît à l’écran. PES 2014 offre aux joueurs expérimentés la possibilité de créer jusqu’à 3 configurations stratégiques, qu’ils peuvent appliquer à n’importe quel moment du match. Chaque configuration combine différents styles de jeu, tactiques et stratégies. Trop de paramètres à gérer ? N’ayez crainte : si vous êtes novice en la matière, PES vous permet aussi de confier à l’IA le choix de la stratégie en fonction de l’évolution du match.

Daniel - PES a toujours mis l’accent sur la stratégie et sur les menus, c’est vrai. Cette année, toutefois, les tactiques disponibles par défaut sont trop peu nombreuses, surtout si on compare avec celles disponibles dans FIFA.

En réalité, les 11 formations de base sont beaucoup plus nombreuse: en changeant manuellement les positions des joueurs, on modifie les réglages tactiques par défaut. Cette option n’est malheureusement valable que pour les joueurs expérimentés. Il serait plus judicieux de proposer un plus grand choix de dispositifs tactiques dès le début pour les joueurs occasionnels. Il va sans dire que plus les stratégies sont complexes, plus elles deviennent difficiles à gérer. De manière générale, j’ai l’impression que les menus et la configuration de la partie tactique ne sont pas aussi faciles d’accès que dans le simulateur d’Electronic Arts.

Et puis savoir que le jeu aura enfin des supporters digne de ce nom avec des fumigènes qui claquent, sans parler de la L1 Argentine, ce ne peut qu'être sympa merde.

[Garburesteff]

Nouveau CR de la preview :

Preview de Ryuken

Voici donc le compte-rendu de ma petite demi-journée passée dans les locaux de Konami lundi dernier. Tout d’abord je tiens à remercier chaleureusement toute l’équipe de Konami France qui nous a si bien accueillis, et plus particulièrement Chems et Nicolas, des gars super sympas dont je salue le grand professionnalisme et la courtoisie. Si tout s’est super bien déroulé, c’est aussi parce qu’il y avait une équipe pour assurer derrière et je ne pouvais pas commencer ce pavé (vous êtes prévenus ) sans en faire mention. Merci aussi à KAiWAi, sans qui rien n’aurait été possible.

Dans un second temps, pour que vous compreniez au mieux la façon dont j’ai évalué ce nouveau PES, je précise rapidement que ce qui m’intéresse dans un jeu de football, c’est davantage le côté simulation que le côté arcade. Dans le football ce que j’aime c’est le jeu, j’aime la construction, j’aime la tactique, j’aime le catenaccio et tous ses dérivés, et si je joue à des jeux de football c’est pour y retrouver tous ces aspects.

Pour véritablement commencer, j’ai une pensée pour les fans de PES qui sont restés fidèles au jeu pendant toutes ces années ; je pense à ceux qui , n’ayant pas vu la Teamvision, se sont cachés les yeux devant les scènes d’Alerte à Malibu de PES 2008, ceux qui ont été choqués par les rails de PES 2009, ceux qui comptent encore les angles de déplacements des joueurs robots de PES 2010, et ceux qui furent partiellement frustrés par le moteur vieillot de PES 2011/2012/2013. Je pense à tous ceux-là parce qu’aujourd’hui toutes ces choses sont, je le crois, de l’histoire ancienne. Enfin  :smoke1: !

Premières impressions

Une fois la présentation des nouveautés de ce PES 2014 par nos hôtes achevée, nous avons pu commencer à jouer. Petit_Anakin et moi étions confortablement posés dans le sofa, en face du grand écran pour notre premier match. Graphiquement, le jeu est beau, mais ça ce n’est plus un secret maintenant. Néanmoins, je précise que presque aucun des screenshots qu’on a pu voir jusqu’à maintenant ne rend véritablement justice à la beauté graphique de ce PES.

Pour ce premier match, je choisis évidemment l’Allemagne, et le match commence. Puis, la surprise. Je souffre manette en main, j’ai l’impression de ne pas avoir de repères. Je tâtonne, j’hésite, sur le moment je me suis senti très noob. J’encaisse un but sur une erreur de placement de mon défenseur. Ma défense est aux abois et je cherche mes marques. Celles-ci finissent par venir, progressivement au fil du match, ou plutôt des matchs, parce qu’une chose est certaine avec ce PES : il faut enchaîner les matchs pour le maîtriser. Par la suite, j’ai gagné des matchs, j’en ai perdus, mais à chaque fois je découvrais un petit quelque chose qui rendait mon expérience encore meilleure lors du prochain match.



Les déplacements des joueurs

L’inertie

Si j’étais si perturbé lors de mes premières minutes passées manettes en main, c’est essentiellement en raison de l’inertie des joueurs. Comprenez-moi bien, je ne parle pas de latence mais bel et bien d’inertie, et je m’aperçois bien dans ce fameux premier match que je ne peux plus déplacer mes joueurs n’importe comment sans être cohérent. Cela était vrai dans les phases de pressing défensif comme dans les phases d’attaque, où je ne pouvais déplacer mon joueur d’un point à un autre sans prendre le risque de me faire passer (en défense), ou de m’empaler (en attaque).

Le 360°
Pour la première fois dans un PES, j’ai eu plus que l’impression de voir et de sentir mes joueurs se déplacer sans entrave. La sensation de liberté est bien plus forte que dans les anciens opus, c’est comparable à ce que propose un FIFA. Couplé à l’inertie des joueurs, ces nouveaux déplacements m’ont donné un peu de mal au début, jusqu’à ce qu’enfin, je trouve la clé.

Le barycentre

Pour moi, c’est clairement l’innovation phare de ce nouveau PES, et on ne peut comprendre l’inertie de ce PES que si on comprend le barycentre. Concrètement, il s’agit de faire varier, dans une direction donnée, le centre de gravité de votre joueur. On peut ne pas l’utiliser, mais le fait est qu’il m’est apparu rapidement indispensable dans le jeu et ce dans pas mal de situations.
Sur des contrôles, le fait de jouer sur le centre de gravité du joueur m’a permis de nombreuses fois d’enchainer rapidement sur l’action suivante en facilitant mon contrôle. Sur les courses, il faisait gagner à mon joueur de la puissance et me permettait même de redresser une course un peu trop folle qui prenait un peu trop la direction de la touche ; sur les protections de balle il était presque démoniaque tant il était intuitif  :wub:; enfin, il s’est avéré très efficace sur les interventions défensives (debout, non taclées) à condition d’avoir le bon timing et le bon placement au préalable. J’ai kiffé le barycentre.
Avec lui j’ai tenté et réussi plusieurs feintes de frappes pour après enchainer des débordements jouissifs ou des centres, et il aide énormément dans les petits périmètres. J’imagine qu’il est encore perfectible mais en l’état, je le considère comme une innovation majeure.



La physique de balle

Globalement, elle m’a paru très bonne. I’m lost for words, c’est bon signe car si elle avait été mauvaise j’aurais beaucoup de choses à dire dessus. Le ballon avait l’air d’un vrai ballon, bien gonflé avec des effets et des rebonds cohérents et réalistes, je veux dire par là que ce n’était pas un ballon de plage. Je vais quand même entrer dans le détail.

Les passes

Pour ce qui concerne les passes, celles à ras-de-terre m’ont semblé parfaites. Je n’ai pas eu de problèmes de dosage ou autre. Pour les adeptes du ping-pong passing, ce PES risque de leur donner du mal car il n’est pas évident d’enchainer à une touche de balle et de traverser tout le terrain comme ça, et c’est tant mieux car c’est réaliste. En ce qui concerne les réglages, je ne me suis pas senti à l’aise avec une assistance niveau 3, en revanche avec une assistance réglée sur 1, je me sentais comme un poisson dans l’eau. N’étant pas un adepte du Fuma, et n’envisageant guère de conversion, je n’ai pas joué en niveau 0 d’assistance et je ne peux rien dire là-dessus.
Les passes en profondeur quant à elles, étaient efficaces mais pas trop. Je veux dire par là qu’elles ne m’ont pas permis de perforer toute une défense sur 30 mètres, sauf si bien sûr celle-ci offre déjà de grands boulevards.
Les passes en hauteur étaient elles aussi assez bonnes globalement, et je me suis régalé tant visuellement que manette en main sur certaines balles lobées avec R2. A noter que les centres ont une jauge maintenant, ce qui est un gros plus.

Les tirs

D’emblée, je dois vous dire que je n’ai pas souvent tiré de loin, en tout cas pas à plus de 20-25 mètres. Impossible donc de les juger. En revanche pour les frappes à mi-distance, elles avaient l’air correctes sans être bluffantes. Elles étaient assez souvent cadrées, du moins sur celles que j’ai tentées. Dans la surface de réparation par contre, il m’est arrivé de tirer à côté, comme de mettre de joli tirs placés. Il m’a semblé que les frappes :carre: :l1: donnaient maintenant un ballon piqué, très bien réalisé d’ailleurs, au lieu d’un immense ballon lobé comme à l’ancienne. Il faudrait tester des joueurs spécialistes des mines pour formuler un jugement complet sur la physique de balle des frappes de ce PES.

Les coups de pieds arrêtés

Les coups-francs et les corners ont changé. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe maintenant une aide visuelle indiquant la trajectoire de la balle. Vous pouvez le désactiver avec :r1:, mais vous en aurez besoin au début parce que les commandes ont été inversées. L’angle de la caméra placée derrière le tireur se change avec le stick droit, tandis que vous déterminez la hauteur et l’effet avec le stick gauche (par exemple en l’inclinant vers le haut à fond, vous tirerez à raz-de-terre) et la puissance avec l’habituel bouton :rond:. Pour être honnête le système m’a semblé bizarre. Sur les corners, le ballon est allé là où je le voulais, ce qui est une bonne chose, mais quand c’est Özil qui tire ça ne surprend pas. Je n’ai eu aucun coup franc direct à jouer, et je ne m’en suis pas pris non plus, donc je ne peux pas dire si le ballon est téléguidé ou pas vers les cages.

Pour les penaltys, vous avez maintenant une cible que vous pouvez activer avec :r1: et qui délimite une zone dans laquelle le ballon ira se placer. J’ai remarqué que le diamètre de la cible était plus large lorsque vous le placer au niveau de la lucarne, sous-entendant que vous avez plus de chances de le mettre dans les tribunes qu’en tirant au milieu au centre (où le diamètre de la cible est de fait beaucoup plus petit). Le système a l’air de permettre pas mal de choses.


La construction du jeu

Au cours des différents matchs, je n’ai pas vraiment touché aux tactiques parce qu’on enchainait les matchs assez rapidement et on ne voulait pas faire planter la démo en passant trop de temps dans les menus. Néanmoins d’après ce que j’ai vu, il est possible de développer différents types de jeu dans ce PES, j’en suis même certain. En revanche, je pense que ça requiert une vraie maîtrise préalable du jeu, et plus particulièrement des déplacements, du timing, du barycentre, et de la bonne utilisation des ressources tactiques du jeu. J’ai joué plusieurs fois avec l’Allemagne et j’ai fait mon meilleur match avec eux d’une part après avoir appris un peu plus à me servir du barycentre et à gérer mes déplacements (courses, accélérations double :r1:, pressing double carré) et d’autre part en mettant un faux n°9 en la personne de Götze en lieu et place de Klose. Il faudra que j’approfondise cet aspect sur la démo.


En vrac:

- J’ai trouvé le jeu beau, bien plus que PES 2013 et sa lignée, particulièrement en vue terrain. Les proportions des joueurs sont parfaitement respectées, la pelouse a de la gueule, les effets de lumière sont réussis, bref le Fox Engine a vraiment de l’impact de ce point de vue.

- En vitesse 0, le jeu est à un bon rythme. Il pourrait être un chouïa plus rapide, mais en vitesse +2 j’ai trouvé que ça cassait l’équilibre du jeu et donnait de mauvaises surprises, dans le sens où on finissait à un moment ou un autre par se rendre compte qu’on ne pouvait pas faire n’importe quoi non plus à galoper partout . La vitesse idéale se situe pour moi entre 0 et 1.

- Les joueurs sont pour la majorité super bien modélisés. Özil est extrêmement réaliste dans sa modélisation, tout comme Götze, Klose, Lahm et Schmelzer. Certains m’ont paru quand même un peu ratés, comme Montolivo ou très ratés comme Bender par exemple.

- On a vu des joueurs venir harceler l’arbitre à la mi-temps après qu’un des leurs ait été exclu en début de match avec un penalty contre eux à la clé.

- Les animations sont très belles. Il n’y a plus de cyborgs, d’androids, de Robocop ou autre Dr Géro dans ce PES. Tout est très organique, très humain, très vivant.

- Avec l’inertie et le 360° qui exige une certaine précision, il est plus raisonnable de ne pas se tromper de choix de joueur avec le curseur :l1:, en défense notamment :cogne:. Mieux vaut être sûr de sa configuration (manuelle, assistée, semi-assistée) pour ne pas avoir de surprises sur les contres. Pareil pour les appels de balle.

- Le hors-jeu rapide marche bien mais attention au joueur que vous dirigez pendant que vous le faites, et au timing. Je me suis pris un but méchant en faisant remonter tout le monde au mauvais moment :x: ( ça s'est joué à la milliseconde près).

- Dans les petits périmètres, une fois digérés (un peu) le barycentre et l’inertie, je me suis vraiment régalé. Rien que le souvenir de ces moments suffit à me donner envie d’y rejouer. Là. Tout de suite.

- On n’a pas vu de méchants bugs de collision, ça avait l’air assez propre. A voir sur la durée mais les joueurs n’étaient pas en mode Casper et étaient bel et bien solides. Un vrai bon point pour moi.

- Je ne sais pas si le Heart était activé, mais sur certains matchs j’ai clairement senti un impact en fonction de la physionomie de la rencontre, rendant les choses plus faciles ou plus difficiles selon les cas.

- Les joueurs sont toujours aussi reconnaissables dans leurs mouvements, et avec la refonte des animations c’est encore mieux.

En somme, j’ai vraiment aimé ce PES 2014. Mais c’est un jeu exigeant. Il fait partie de ces jeux qu’il faut apprendre à maîtriser avant de pouvoir profiter pleinement de tout ce qu’il a à offrir.
Il faut aussi l’aborder avec le bon état d’esprit, c’est-à-dire en sachant se remettre en cause dans sa façon de jouer et en s’adaptant aux nouveautés du jeu, comme par exemple le barycentre. En fait, c’est un jeu qu’on a envie de maîtriser, il pousse à acquérir du skill parce qu’il offre aux joueurs une véritable marge de progression.
Je ne peux dire ce que sera votre expérience du jeu, ça doit dépendre de beaucoup de paramètres comme votre profil de joueur, votre profil de footeux etc, mais si on aborde le jeu comme il convient, avec volontarisme et sans défiance, on a plus de chances d'y prendre du plaisir. En tout cas, pour ma part, j'ai hâte d'y rejouer et d'explorer toutes ses facettes.

[Garburesteff]

Du coup pour saluer l'effort du post iphoniens, un bisou 

J'ai du coup le souvenir qu'à l'époque de ISS pro psx, on avait fait un tournoi dans un bar que je fréquentais quand j'étais à la fac de Sainté.

Pour éviter les matchs de kékés, les équipes étaient tirées au sort, et tout le monde pouvait participer, débutant, joueurs habituels...Bien évidemment tout le monde avait fini plus ou moins saoul et finalement le vainqueur importait peu (sauf qu'il avait pas à payer ses verres).

Et bien c'est exactement cela que je trouve exaltant, et pas les compet pro avec des Real Barca. Même si dans otn reportage on voit que le mec n'a pas un mauvais fond, en ayant débuter sur World Cup...Mais il a pris le virage du kéké, qu'il crève.

[Radical]

.. Bruce joue avec le Réal de Madrid, ce qui le rend tout de suite moins sympathique. Du 1er au dernier match il n'y aura que des Réal de Madrid vs Réal de Madrid. Même pas un Réal vs Barca ou un Réal vs Man U. C'est triste et c'est ce qui fait à mon sens que ça restera toujours du jeu électronique et non du sport électronique. Un monde aseptisé ou Goliath restera toujours Goliath et où David ne pourra jamais triompher. Je parie que la finale 2013 se jouera entre le Bayern et le Bayern *soupirs*...

Ce que tu soulignes est effectivement pathétique mais la raison principale c'est que Fifa ou PES n'ont jamais été des jeux pensés pour le esport compétitif (championnat du monde etc ..)

Regarde une compétition de Dota 2 et tu verras que ça va bien au delà du jeu et que là on peut parler de "esport" (bon faut s'y intéresser un minimum c'est pas aussi simple que de regarder du FOOOTTT)

[POYO]

.. Bruce joue avec le Réal de Madrid, ce qui le rend tout de suite moins sympathique. Du 1er au dernier match il n'y aura que des Réal de Madrid vs Réal de Madrid. Même pas un Réal vs Barca ou un Réal vs Man U. C'est triste et c'est ce qui fait à mon sens que ça restera toujours du jeu électronique et non du sport électronique. Un monde aseptisé ou Goliath restera toujours Goliath et où David ne pourra jamais triompher. Je parie que la finale 2013 se jouera entre le Bayern et le Bayern *soupirs*...

Ce que tu soulignes est effectivement pathétique mais la raison principale c'est que Fifa ou PES n'ont jamais été des jeux pensés pour le esport compétitif (championnat du monde etc ..)

Regarde une compétition de Dota 2 et tu verras que ça va bien au delà du jeu et que là on peut parler de "esport" (bon faut s'y intéresser un minimum c'est pas aussi simple que de regarder du FOOOTTT)

Tout à fait. Les séries des FIFA/PES entrant dans la catégorie des simulations, on ne peut pas dire qu'ils soient vraiment tournament type, vu que c'est sensé coller à la réalité. Pour que ce soit un tournament type, il faut équilibrer le jeu. Donc que l'AS Kinshasa puisse meuler le Barça pour une raisonx ou y. Comme on est en simu, équilibrer le jeu serait betement renier le sel de ce qui fait du jeu une simulation : le perso/groupe craqué.

On est pas à SF2X ou DotA, effectivement.

[Ellaed]

C'est plus le système que le joueur qui m'ont répulsé. D'ailleurs, je sais que je pourrais trouver la réponse en 10 minutes sous Google, mais comme il y a des gens plus calés que moi ici... Existe t-il des compètes pros où l'on ne peut jouer au maximum qu'avec des équipes 3 étoiles ?

Alors ça a peut être changé, mais non, pas de grosse compète pro avec cette règle à ma connaissance. Au mieux, lors de tournois amateurs (est ce que les Ultimates existent toujours tiens?), les mecs se mettent d'accord au moment du match (super ambiance les tournois amateurs, tiens).

[Cosmic]

Après c'est "logique" aussi.
Pour une compétition de ce type, tu sais très bien que tu vas pas prendre le SB29 malgré ce diablotin de Bruno Grougi dans l'effectif.

Pour les grosses compétitions que fait notre ami Bruce, le Real est obligatoire sur FIFA12 ou FIFA13. C'est rapide, costaud, et ça défend bien. Tu peux adapter n'importe quelle formation avec les joueurs du Real, tu auras toujours du mouvement et des appels. Chose plus compliquée à obtenir avec les Chamois Niortais ou Crystal Palace...

L'idéal pour les tournois, à mon sens, c'est de définir le nombre d'étoiles maximum avant et ensuite soit tu choisis, soit tu as droit à 3 coups d'aléatoire 5 étoiles et tu choisis parmi les trois que l'IA t'aura choisi.
Ou mieux, tu définis à l'avance les équipes qui font la compétition.
Ou alors tu fous un handicap étoile au meilleur joueur, mais bizarrement dans ces cas-là, le mec qui est très fort refusera au prétexte "qu'il n'est pas si fort que ça".


On avait fait ça il y a quelques mois avec des potes. 4,5 étoiles maximum, on s'est retrouvé avec du Newcastle, de l'Anzhi et du VfB Stuttgart, c'était très bien.

J'ai proposé à un pote, que je pensais incapable de jouer avec une autre équipe que le Real (pour vous situer : il a déjà passé des nuits entières avec un autre pote à faire des Real-Real au meilleur des 50), de prendre une équipe en dessous de 3 étoiles. Il a pris Ajaccio, j'ai pris Manchester City. J'ai perdu 2-0.
Mais je suis persuadé que la majorité du field de players sur une compétition FIFA est incapable de maitriser une équipe à 3 étoiles...

[Garburesteff]

Une vidéo de PES 2014

Je pense que fifa va perdre son titre de simulation cette année.

PES 2014 | Goles, regates, paradas... BEST MOMENTS | DjMaRiiO