Hop, Astral Chain terminé.
C'était sympa. Le jeu a finalement réussi à me séduire là où je l'attendais le moins : sur les phases de début de chapitres, quand il vous lâche un peu la grappe et vous fait faire quelques petites missions dans un niveau urbain cyberpunk vaguement ouvert. Là on se pose, on a de l'ambiance, du background, c'est chouette.
Pour le reste : DES EXPLOSIONS POUM TCHAATCHAPIOU POUM SCHPRAAAF BBAMBAMABAM ZIOUUUUU PIOUPIOUPIOUjacuzziPIOU BRAAAAAAAAAAH
Il y a des passages vraiment relous, et notamment le scénario MON DIEU AU SECOURS CES SCENARS JAPONAIS A LA CON.
Les mecs passent les 3/4 de leurs dialogues à faire des punchlines lourdes de sous-entendus, et qui débouchent la moitié du temps sur des quiproquos (et donc, à terme, des pleurs de regrets.) Ca m'est de plus en plus insupportable de me coltiner ces jeux où le scénar' n'avance que parce que les protagonistes sont trop cons pour parler normalement et exposer leurs motivations.
Mais ceci mis à part, et une fois qu'on a accepté l'idée de la foire à la saucisse totale que sont l'interface et les 1500 possibilités d'inputs dans les combats, c'est un jeu bien pêchu et avec des moments vraiment très, très, très réussi, en mode plein la gueule. A faire.
Et bordel, ces passages en moto du love :