J'ai terminé Hollow Knight.
Enfin non, j'ai abdiqué. J'ai terminé le boss final, mais j'ai renoncé devant la difficulté de certains autres. J'y reviendrai plus tard, mais là, à 87%, j'en étais arrivé à un stade ou cela me frustrait plus qu'autre chose d'essayer de progresser. J'ai besoin d'une petite pause.
Et Dead Cells prend magnifiquement le relai.
Vous pouvez aller lire son test (9/10) sur Gamekult pour vous faire une idée de son fonctionnement, mais pour faire vite et simple : Metroid x Rogue Like
On commence toujours la partie au fond d'un cachot et on essaye d'aller le plus loin possible dans une gigantesque structure (que l'on débloque petit à petit) en amassant des armes, en débloquant des améliorations temporaires ou permanentes, en essayant d'aller toujours un peu plus loin.
Les contrôles font que vous êtes absolument maître de vos actions, si vous mourrez ce sera de votre faute et celle de personne d'autre. Le besoin de dépasser ses limites est le principal moteur du jeu. Si vous vous démerdez bien lors de chaque run, pour parviendrez à faire progresser l'avancement de compétences qui survivront à votre mort. Au bout d'une trentaine de morts, vous aurez potentiellement déverrouillé la possibilité de vous soigner, de démarrer avec un arc au hasard parmi ceux que vous êtes parvenus à débloquer, ou de commencer avec un petit pécule d'or bien utile pour remplacer votre canif rouillé par des double-lames 150dps+70% dgts sur un ennemi en pleurs devant votre rage de vaincre.
C'est nerveux, joli comme tout, bien conçu, on y revient comme dans un saladier de sangria.