Et quelques jours plus tard, quelques restaurants indiens m'ayant aidé à rester plus que de coutume là où le roi va seul, j'ai torché Zelda oracle of Seasons.
"Ah bah ca ce n'est pas banal..."Je l’appellerai maintenant "Le Zelda de la frustration".
Rarement dans un jeu j'ai autant pesté contre des systèmes idiots, des monstres qui vous coince dans un angle et où on meurt car on ne peut RIEN faire. J'ai même été bloqué à un moment donné, obligé de recommencer l'intégralité de la partie...
"Et encore tu ne l'as pas vu... Mon membre"(Pour ceux qui veulent savoir pourquoi : fièrement logé dans mon kangourou pour arriver à franchir le grand saut arrivant à je ne sais plus quelle grotte, je suis descendu de ma monture, pour voir une maison isolée. On papote, c'est cool, j'avance une quête, mais en sortant plus de kangourou. Et bim, coincé entre deux grands sauts, impossible de faire quoi que ce soit, comme par exemple rappeler le kangourou en question. Tristesse infinie)
"C'est ce qu'elles disent toutes."Je parlais des donjons trop grands. Et bien l'impression ne vas pas en s'améliorant. Tout du long du jeu, lorsque l'on fait des A/R de tous les côtés c'est pas drôle du tout.
Les musiques sont chics, les décors jolis, mais il manque le génie.
"Tu pourrais stp parler de manière plus douce de ta femme."A 80% de l'aventure, heureusement une scène m'a rappelé ce que je faisais sur cette morne planète, car le scénario est plat comme la poitrine de Sophie Goubert, 4ème 2B, collège Claude Bernard.
De bonnes idées, une recette éculée malheureusement pas transformée, à l'extinction de la console post win, un sentiment de rien. "Bon, et bien ça c'est fait, mais je m'en fous un peu en fait..."
"Plage, cocotiers, "trop cool"... Pas de doute, c'est la Jamaïque."Déception personnelle.
Mais pris dans un esprit d'investigation pur, je me lance dans Oracle of Ages. A suivre.