Eh bien, j'ai fait un week-end quasiment QUE de ça, mais je viens de finir Zelda.
J'en ai les yeux baignés de larmes. La fatigue, sans doute... Mais l'arrivée des thêmes historiques dans le combat final et la cinématique de fin m'ont achevé. Je ne lui reprocherais qu'une chose : la facilité des boss (la faute à quelques items complètement pétés, il faut bien le dire. J'ai commencé par upgrader les baguettes et mes combats de boss se sont alors transformés en viol). Pour les énigmes en général je ne les qualifierais pas de facile, au contraire. Je les ai passées relativement à l'aise mais comme vous j'ai presque 30 ans de Zelda dans les pattes, quand même, ça aide. Pour un néophyte, pour contre, soyons honnêtes : ça doit piquer.
Mais QUEL PANARD NOM DE DIEU. Vous m'auriez vu pendant ces quelques jours : je trépignais, je frisonnais, je frétillais. Chaque donjon terminé, chaque quart de coeur trouvé, quel PIED, quelle exhultation ! Que des idées de génie ! Une bande-son de folie ! (Le donjon des glaces, quelle extase !) J'ai eu à la fois la joie de revisiter le Hyrule de 1992, mais avec que du neuf dans tous les coins. J'ai rééprouvé les mêmes frissons que jadis, la même satisfaction béate de trouver comment récupérer tel ou tel item (l'illumination suivie d'un "bordel mais c'était si simple" désespéré). J'ai lâché quelques "oh OUI" devant certaines parties et certaines scènes (ou grottes dans lesquelles la 3D offre un effet saisissant. D'ailleurs j'ai pu voir que j'étais parfaitement à l'aise avec la 3D, au passage, un bon point)
Ah bordel. Je l'ai fait trop vite, je l'ai pourri goulûment, intégralement, sans soluce, à l'ancienne, mais tant pis. Il était trop beau pour que je sois raisonnable. Il se hisse dans mon top 3, direct, paf.
Merci à Prosnie de m'avoir prêté son Précieux. Maintenant je vais enlever toutes les traces de crasses et de sueur que je lui ai foutu sur sa coque de 3DS
A bordel. Ah bordel, bor-del !!! Merci Nintendo, MERCI !!!!!
(ce HURLEMENT de joie quand j'ai trouvé le dernier quart de coeur*, je n'étais plus moi-même.)
*évidemment visible comme le nez au milieu de la figure, hein. On ne se refait pas.EDIT : Non mais écoutez-moi
cette merveille, foutredieu.