Pas de bras entre tes seins, pas de chocolat dans ton cul.
10 Yard Fight
Ah…. 10 yard fight… J’ai eu ce jeu dans un lot pour famicom, lors de l’achat d’une de mes consoles Game Axe aux USA. Je regarde les jeux du lot sans trop faire attention, et mon regard échoue sur la chose. Une étiquette ultra rustique, limite cartouche pirate, mais non, c’est bien un jeu officiel !! Mais qu’est ce qu’une étiquette aussi laide peu cacher dans ses mémoires ? Bon courage, vous n’allez pas être déçu…
On allume le jeu. Un écran d’une simplicité à peine supportable nous montre que c’est Irem qui a commis le monstre. Pas de bol, on va dire qu’on ne peut pas pondre des merveilles à tous les coups. Là c’est carrément l’échec. 10 Yard fight est un jeu (si si je vous jure théoriquement c’en est un !) de football américain. Aïe. Rien que là, le bât blesse. Je hais le sport sur machine, sauf de temps en temps un petit NBA Jam ou un Fifa, mais là le football américain… Je leur laisse tiens ! Mais je suis un oldies man consciencieux, et je poursuis l’analyse.
On choisit le degré de difficulté de l’adversaire, et paf on est parachuté sur le terrain. Aïe. Ce sont les graphismes les plus pauvres que la terre n’ait jamais portés. 3 couleurs, et encore, rien. Le néant. Un coup de sifflet retentit, une équipe s’anime. J’agis sur la manette je vois que tous les gars bougent en même temps. Ce doit donc être mon équipe. Dur. Un attroupement de gens me fonce dessus. D’instinct je les évite, mais il se passe un mystère, le jeu s’arrête, un type en chemise rayée arrive. Ok ce doit être le juge. Et ça recommence, indéfiniment. Argh !
Je n’ai pas le courage de poursuivre dans ce jeu. Je pense que c’est l’archétype du jeu que je balance si on me demande un jour dans un sondage « voulez vous échanger notre baril de Bonux contre un jeu NES » « Oui OK je vous donne 10 yard fight ». Si ça ne tenait qu’à mon sens pratique je l’aurais jeté, mais je suis un collectionneur, c’est donc contre nature. Perso, je hais ce sport, je hais ce jeu, et je ne le recommande à personne, sauf si c’est le dernier qui vous manque pour votre collection de jeu NES, mais je doute. Alors… J'ai quand même mis le manuel en ligne, pour ceux que ça intéresserait (si quelqu'un aime réellement ce jeu, mailez moi)
On allume le jeu. Un écran d’une simplicité à peine supportable nous montre que c’est Irem qui a commis le monstre. Pas de bol, on va dire qu’on ne peut pas pondre des merveilles à tous les coups. Là c’est carrément l’échec. 10 Yard fight est un jeu (si si je vous jure théoriquement c’en est un !) de football américain. Aïe. Rien que là, le bât blesse. Je hais le sport sur machine, sauf de temps en temps un petit NBA Jam ou un Fifa, mais là le football américain… Je leur laisse tiens ! Mais je suis un oldies man consciencieux, et je poursuis l’analyse.
On choisit le degré de difficulté de l’adversaire, et paf on est parachuté sur le terrain. Aïe. Ce sont les graphismes les plus pauvres que la terre n’ait jamais portés. 3 couleurs, et encore, rien. Le néant. Un coup de sifflet retentit, une équipe s’anime. J’agis sur la manette je vois que tous les gars bougent en même temps. Ce doit donc être mon équipe. Dur. Un attroupement de gens me fonce dessus. D’instinct je les évite, mais il se passe un mystère, le jeu s’arrête, un type en chemise rayée arrive. Ok ce doit être le juge. Et ça recommence, indéfiniment. Argh !
Je n’ai pas le courage de poursuivre dans ce jeu. Je pense que c’est l’archétype du jeu que je balance si on me demande un jour dans un sondage « voulez vous échanger notre baril de Bonux contre un jeu NES » « Oui OK je vous donne 10 yard fight ». Si ça ne tenait qu’à mon sens pratique je l’aurais jeté, mais je suis un collectionneur, c’est donc contre nature. Perso, je hais ce sport, je hais ce jeu, et je ne le recommande à personne, sauf si c’est le dernier qui vous manque pour votre collection de jeu NES, mais je doute. Alors… J'ai quand même mis le manuel en ligne, pour ceux que ça intéresserait (si quelqu'un aime réellement ce jeu, mailez moi)
Le point de vue de César Ramos :
Mouarf, je trouvais ce jeu dans les poubelles d'Okinawa, mais ça n'a rien d'étonnant. C'est une daube qu'on se le dise.
Mouarf, je trouvais ce jeu dans les poubelles d'Okinawa, mais ça n'a rien d'étonnant. C'est une daube qu'on se le dise.