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Super Mario Bros
Nintendo - 1985
Allons délivrer la princesse des griffes du vilain Bowser par EcstazY

Extras : Musique - Manuel TXT - Manuel PDF
Ah mon dieu, la vie dans le royaume champignon est en péril : le roi Bowser Koopa a enlevé la Princesse Toadstool, aimée de tous, et l'a jeté dans un cachot. C'est la où vous intervenez. Vous êtes Mario, un gros plombier mangeur de pasta al dente. Ok. L'imagination des gars de chez Nintendo nous émerveillera toujours mais de la a créer ce héros là il y a une marge, et de là à en faire son héros culte, il y a une marche ! Vous arrivez donc là (genre "hop hop hop mais qui voila ?"). Si vous la sauvez, elle vous cuisinera sûrement des boulettes de viande dont elle seule a le secret, et si vous échouez, vous serez condamné à jouer dans un film de merde où le vilain Bowser sera un acteur hyper connu avec des pics sur la tronche (comment ça? Ca existe ?). Vous relevez le défi ?



On doit pouvoir résumer tout ça dans un plus pur style "moi tarzan toi jane". Ca donne : Toi Mario. Ton frère Luigi. Sauver la princesse. Cool :) Le jeu se compose de 8 niveaux eux même découpés en 4 sous niveaux. on peut si l'on connaît les raccourcis zapper ("warp" dans le jeu) des niveaux, d'où un précieux gain de temps. Vous parcourrez d'innombrables niveaux aux décors (un peu...) variés, genre de la glace (qui ne glisse pas : culte !), des plates-formes qui bougent dans tous les sens, et ennemis que seul un mec bourré après 4 jours de Thunderdome et encore sous ecstazy (ah ah je sais c'est moi c'est ça qui est fort) peut rater. A la fin de chaque niveau vous combattez Bowser mais en fait non ! Vous avez beau le tuer, vous vous apercevez à chaque fois que ce n'est qu'un imposteur. le vrai Bowser vous attend à la fin du dernier niveau (8.4) et pas avant. Damned. Dès que vous le tuez, le jeu recommence, avec des ennemis plus durs, et ce jusqu'à ce que vous craquiez. Personnellement je ne l'ai jamais fini plus de deux fois de suite, j'ai du temps à perdre mais quand même.



Le jeu est déjà bien introduit. Dès le lancement de la cartouche : culte, LA MUSIQUE. En soit c'est quand même de la merde, niveau qualité : 2 voix mono, c'est quand même pas gras. mais devrais-je vous rappelez que c'est l'honorable Koji Kondo qui a composé cette musique ? Et oui le même qui a fait les musiques de Zelda etc... Cela impose le respect. De plus aujourd'hui encore, tout le monde a dans le crâne cette musique, demandez autour de vous, nous sommes une génération de traumatisés !



L'intro, la musique... Les graphismes maintenant. Arf. N'oublions pas que nous avons là affaire à un des tous premiers jeux de la console, c'est à dire période 1985. Allez on est gentil on lui donne un peu de mou pour critiquer au vues de son grand age. C'est moche. Le mot est lâché. Mais de tous les jeux de 85, c'est probablement le seul qui utilise de manière aussi efficace cette mocheté relative. C'est culte, y a pleins de pixels, j'en veux encore !



La difficulté du jeu quant à elle est... Arf comment parlez convenablement d'un jeu que vous avez sûrement déjà finis des milliers de fois ? Dur. Personnellement, que je sois à poil, en doudoune, dans mon bain, bourré comme un coing, c'est le jeu à finir. Voila ça ne vous apporte rien, mais je l'aurais dis. C'est l'un des jeux les plus simples à manier au monde, et le plus agréable peut-être. Le Gameplay est parfait. J'adore l'idée du "freinage" de Mario lorsqu'il est en l'air pour faire un saut comme il faut. C'est grand. Prenez ce jeu pour initier votre ami martien à la préhension des concepts phares des jeux vidéo !



Il y a tant de challenges dans ce jeu, tant de possibilités... On peut se retrouver à 4h du matin dans un triste état en train de tenter de le finir avec les pieds ou en faisant le poirier, il sèmera toujours le bonheur autour de lui (comme l'ami Ricorée, mais sans les tartines). C'est un très grand classique, de la race de ceux qui ont pavé la voie à nos jeux d'aujourd'hui. Culte.

Le point de vue de César Ramos :
Est-il nécessaire que j'en parle ? Regarde-moi droit dans les yeux petit.