Tabouret, T-A-B-O-U-R-E-T.
1943 : The Battle of Midway
Et revoilà le célèbre shoot 'em up qui a sévi, toute console confondue. Mais à vrai dire, je ne savais même pas qu’il y avait une suite alors… Grosse surprise dans un lot Famicom sur Ebay aux USA lorsque je l’ai vu. J’ai fait chauffer la Game Axe, et lancé la bête. Mais je préviens que je n’aimais pas 1942, alors que je pars avec un a priori énorme sur celui là. Est-il bien fondé ? On va voir ça tout de suite ami internaute.
Ecran titre. Ah les salauds, on se retrouve avec le même que 1942, à part que la couleur est différente et qu’il y a désormais marqué 1943… C’est plutôt rassurant, mais en fait pas du tout ! C’est vraiment laid, en 1985 on pouvait encore accepter un tel menu, là c’est vraiment se foutre de la gueule du monde ! Ah ça commence bien, il commence à me plaire celui là tiens !
On passe l’écran titre, on note en passant le mot de passe, bien pratique ça, et on commence. Une nouveauté : le tuning. On peut au début de la partie choisir les options tactiques de son avion. Et oui « veut-on qu’il soit plus agile / rapide / maniable / offensif / défensif » ou bien encore « veut-on un avion vert / rouge / avec une queue de rat mort à la cabine ». Du grand art, c’est en soit l’option qui ne sert à rien. Et d’ailleurs, niveau nouveauté, aimez-là ! C’est la seule !
On commence la partie. Marrant, c’est le même porte-avion que dans 1942 c’est dingue ça. On essaye les boutons : un bouton de tir, et un bouton qui fait un POW à l’écran, c'est-à-dire que l’avion émet un magnifique éclair qui couvre tout l’écran, bien sûr en quantité limitée. Normal… Rien de bien transcendant. L’avion a à peu de chose près exactement le même design que 1942. Eh les petits gars l’autre est excusable car il est sorti en 85, on attendait un petit effort niveau graphisme en 1988… Ah ça commence bien.
Et on repart pour tuer tous les vilains. Exactement pareil. Des milliers d’avions, des gros des petits des forteresses volantes, des bateaux qu’on peut pas tuer, des nuages, des oies sauvages, des gnous… Non je rigole, mais c’est toujours le même train train. Les patterns ennemis sont simplistes, avec toujours les mêmes trajets par type d’avion, et je dois dire que personnellement, je m’ennuie. Certes il y a 15 000 ennemis à l’écran dont 7500 vous tire dessus en même temps, ce qui donne une certaine émotion lorsqu’on s’en sort sans encombre, mais bon, il y a pas que ça dans la vie.
Je ne vais pas passer 100 000 ans sur un jeu qui m’ennuie. 1942 était un mythe. OK, pas pour moi, mais je pouvais comprendre. Des graphismes plutôt agréables, et un gameplay unique pour l’époque. D’accord. Mais refondre une suite avec exactement la même chose, les mêmes graphismes, le même moteur de jeu, mais 3 ans après, ça je ne digère pas. Les salauds, ils auraient pu éviter quand même. Ah Capcom, bande de petits coquins, vous savez faire de si grands jeux… Pour ceux qui ont l’impression de voir les captures de 1942, sachez que non, ce sont bien celles de 1943, mais c’est tellement proche… Dommage, une prochaine fois peut-être !
Ecran titre. Ah les salauds, on se retrouve avec le même que 1942, à part que la couleur est différente et qu’il y a désormais marqué 1943… C’est plutôt rassurant, mais en fait pas du tout ! C’est vraiment laid, en 1985 on pouvait encore accepter un tel menu, là c’est vraiment se foutre de la gueule du monde ! Ah ça commence bien, il commence à me plaire celui là tiens !
On passe l’écran titre, on note en passant le mot de passe, bien pratique ça, et on commence. Une nouveauté : le tuning. On peut au début de la partie choisir les options tactiques de son avion. Et oui « veut-on qu’il soit plus agile / rapide / maniable / offensif / défensif » ou bien encore « veut-on un avion vert / rouge / avec une queue de rat mort à la cabine ». Du grand art, c’est en soit l’option qui ne sert à rien. Et d’ailleurs, niveau nouveauté, aimez-là ! C’est la seule !
On commence la partie. Marrant, c’est le même porte-avion que dans 1942 c’est dingue ça. On essaye les boutons : un bouton de tir, et un bouton qui fait un POW à l’écran, c'est-à-dire que l’avion émet un magnifique éclair qui couvre tout l’écran, bien sûr en quantité limitée. Normal… Rien de bien transcendant. L’avion a à peu de chose près exactement le même design que 1942. Eh les petits gars l’autre est excusable car il est sorti en 85, on attendait un petit effort niveau graphisme en 1988… Ah ça commence bien.
Et on repart pour tuer tous les vilains. Exactement pareil. Des milliers d’avions, des gros des petits des forteresses volantes, des bateaux qu’on peut pas tuer, des nuages, des oies sauvages, des gnous… Non je rigole, mais c’est toujours le même train train. Les patterns ennemis sont simplistes, avec toujours les mêmes trajets par type d’avion, et je dois dire que personnellement, je m’ennuie. Certes il y a 15 000 ennemis à l’écran dont 7500 vous tire dessus en même temps, ce qui donne une certaine émotion lorsqu’on s’en sort sans encombre, mais bon, il y a pas que ça dans la vie.
Je ne vais pas passer 100 000 ans sur un jeu qui m’ennuie. 1942 était un mythe. OK, pas pour moi, mais je pouvais comprendre. Des graphismes plutôt agréables, et un gameplay unique pour l’époque. D’accord. Mais refondre une suite avec exactement la même chose, les mêmes graphismes, le même moteur de jeu, mais 3 ans après, ça je ne digère pas. Les salauds, ils auraient pu éviter quand même. Ah Capcom, bande de petits coquins, vous savez faire de si grands jeux… Pour ceux qui ont l’impression de voir les captures de 1942, sachez que non, ce sont bien celles de 1943, mais c’est tellement proche… Dommage, une prochaine fois peut-être !
Le point de vue de César Ramos :
La version japonaise n'existe quasiment pas, en majorité sur cartouches pirates. En europe, ce jeu est vraiment TRES rare, je l'ai trouvé à Buenos Aires près du vieux port par une nuit sans lune...
La version japonaise n'existe quasiment pas, en majorité sur cartouches pirates. En europe, ce jeu est vraiment TRES rare, je l'ai trouvé à Buenos Aires près du vieux port par une nuit sans lune...