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Bubble Bobble
Taito - 1988
Quand la musique est blob blob blob blob !! par EcstazY

Extras : Musique - Manuel TXT - Manuel PDF
Ce jeu là a été acheté par mes soins à Emmaüs Angers, il y a de ça … longtemps. Aucun intérêt, c’est juste pour situer la bête aux yeux de tous dans mon expérience personnelle, j’ai promis à ma chérie de m’étendre un peu plus sur les autres et de quitter mon aura de mystère mais je m’égare. Bubble Bobble. Ce nom résonne, claque comme un drapeau français en haut d’une tranchée de 14-18, est aussi impressionnant que moi torse nu (ah ah je suis un dieu). Je ne connaissais que lui, mais je n’y avais jamais joué. C’est avec une certaine appréhension que j’allumais ma console chérie, en me demandant si ce jeu était vraiment le jeu culte que je m’imaginais. Suite au prochain épisode.



L’écran titre. Le logo culte. Ma main tendue fiévreusement sur ma manette cubique horrible (la seule valable selon moi encore de nos jours, mais bon elle fait beaucoup jaser…). Une petite musique guillerette explique le contexte. Et notre petit dragon (seule image animée de ce site je tiens à le rappeler, pour montrer leur importance !) dans sa bulle descend dans un tableau.



C’est quoi un tableau ? Le jeu est un jeu d’arcade, le principe est simple. Le dragon se balade dans des « tableaux ». Il peut cracher une petite bulle. Et avec cette bulle englober ses ennemis, qui après saut préalable mourront dans d’atroces souffrances. Voilà le principe du jeu. Le dragon est donc lancé, il a plus qu’a buller à tout va, et ploup tout le monde au cimetière.



Le petit dragon est aussi doté de la possibilité d’utiliser ses bulles comme échelle, possibilité que je n’ai découverte qu’au niveau 53, après 2h de recherche sur le moyen de buter ce ù*^ù$ de poisson en haut. Je vous en fais part ici pour vous éviter de perdre 2h eh eh je sais c’est trop mais ma bonté me perdra rassurez-vous.



Le dragon balance ses bulles. Les niveaux sont des petits passages plate-forme, sympa, parfois des tunnels où il faut gérer les entrées/sorties des monstres, il y a des petits bonus qui apparaissent, c’est mimi ces petits fruits, j’aime ! Tout ça est follement excitant !!



Ca fait 6h que je joue. J’ai fini le jeu. Tous les tableaux, le mode extra, tout. J’en veux encore. C’est court !!! Comment ça 120 niveaux c’est déjà ça ? Euh d’accord, j’ai un peu fait mon bourrin mais quand même ouiiinnnn !



Puis vient mon frangin qui vient me consoler de ne plus avoir de niveaux à abattre. Ah ça recommence vive le jeu à deux ! Toujours aussi fun et jouable, toujours accompagné de cette même musique gamine et cristalline qui ne me lasse même pas bon sang ce que je trippe. Et on le termine après … longtemps.



Génial. Enorme. Culte. Ce sont les termes qui qualifient le mieux ce jeu. Jouable à l’extrême, principe très simple mais motivant, niveaux hyper bien faits, ambiance générale sympa, monstre mimi, du bonheur !! C’est le jeu culte de base, celui qui existe sur toutes les consoles et que tous les consoleux se doivent de posséder. Allez, c’est comme la barre ovomaltine, « j’y retourdddde » !!
Le point de vue de César Ramos :
Assez commun, mais toujours objet de culte, donc a des prix de fous. Mais quelques gorges à trancher seront amplement suffisantes...